Bitcoin : Le phare économique au milieu du drame Israël-Hamas.

Entre le tumulte et le déchirement d’un conflit ancien et persistant, le monde observe, souvent impuissant, la dévastation au Proche-Orient. Cependant, dans ce tourbillon de tragédies et de violences, le Bitcoin demeure un roc apparemment inébranlable, dont la résilience interpelle autant qu’elle étonne.

Bitcoin, l’insensible

Le conflit Israël-Hamas ne cesse de défrayer la chronique. Alors que les affrontements s’intensifient ce lundi 9 octobre, la riposte inattendue du Hamas ce weekend a plongé Israël dans un état d’urgence. Les forces israéliennes, désormais en mode réactif, cherchent à sécuriser les régions prises d’assaut près de la bande de Gaza.

Les conséquences humaines de ce conflit sont déjà lourdes, avec un bilan qui s’élève tragiquement à plus de 1 100 morts. Selon un décompte de l’armée israélienne, le nombre de vies israéliennes perdues dépasse les 700, et plus de 2 150 blessés sont recensés.

La guerre dévaste, déplace et détruit en Israël et en Palestine, mais elle semble ne pas ébranler les fondements du Bitcoin. Sa nature décentralisée, qui le libère des chaînes de toute gouvernance centralisée, le blindent contre des perturbations géopolitiques comme celles que nous observons entre Israël et Hamas.

Émancipée des chaînes des contrôles étatiques et gouvernementaux, la crypto traverse les barrières et les zones de conflit, conservant sa valeur malgré les crises sociopolitiques. Tout en conservant une trajectoire et une valeur stoïques, elle renforce sa position en tant que monnaie véritablement internationale.

Le marché crypto s’étend bien au-delà des limites du Moyen-Orient, influencé par des facteurs internationaux, tels que l’offre, la demande, le sentiment du marché et les taux d’adoption. Son essence décentralisée reste stable, naviguant au-dessus du tumulte régional.

La résonance de Bitcoin dans les zones en conflit.

La guerre déchirante entre Israël et le Hamas a, certes, causé des dégâts matériels, mais elle a aussi bouleversé l’architecture économique. Cependant, Bitcoin plane audacieusement sur les répercussions économiques de cette confrontation.

Pour les habitants de Gaza, Bitcoin n’est pas qu’un simple moyen financier. C’est une échappatoire, un mécanisme pour contourner les embargos. Sa nature décentralisée apporte un souffle économique dans un environnement autrement asphyxié, positionnant le Bitcoin comme un protagoniste improbable dans ce récit douloureux.

Dans ces circonstances, le Bitcoin s’érige non seulement comme un actif, mais également comme un bouclier économique. Palestiniens et Israéliens exploitent le BTC pour acheminer les ressources, pallier aux contraintes du blocus et redonner vie à leur économie en berne.

Source et Copyrights. Cointribune .

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