SPECIAL ISRAELVALLEY. Un fait qui commence à inquiéter les présidents des meilleures universités américains. Beaucoup d’entre eux savent très bien qu’il existe dans leur propre Université une forte présence de professeurs et de doctorants juifs et israéliens qui se sentent très mal à l’aise depuis le 07/10. Il est pratiquement impossible de trouver une Université américaine qui n’ai pas d’israéliens dans le Corps professoral.
Ceux-ci sont considérés comme les meilleurs esprits, notamment en sciences et en médecine, et non seulement les universités américaines sont en compétition pour les obtenir, mais aussi les institutions universitaires israéliennes qui aimeraient les avoir. (1)
Dans la réalité actuelle, il n’est pas impossible que beaucoup préfèrent retourner en Israël après la guerre, même au prix de conditions économiques moins favorables.
C’est peut-être la meilleure revanche contre les courants antisémites, la possibilité que les futurs prix Nobel, auxquels la population juive en général et la population israélienne en particulier ont un poids disproportionné par rapport à leur taille, soient enregistrés au nom d’Israël, au lieu des États-Unis.
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Israël a plus de prix Nobel par habitant que les États-Unis, la France et l’Allemagne. Il compte plus de lauréats, en nombre réel, que l’Inde, l’Espagne et la Chine. Depuis 1948, de nombreux Israéliens ont remporté des prix Nobel pour leurs contributions à la science, la littérature et l’humanité. L’écrivain Shmuel Agnon, les politiciens Menahem Begin, Yitzhak Rabin et Shimon Peres, les biochimistes Avram Hershko et Aaron Ciechanover, le psychologue Daniel Kahneman, artiste mathématicien israélien, la scientifique Ada Yonath et le scientifique Dan Shechtman.