le Ministère des Finances insiste sur le fait que « les examens liés à Eilat sont compliqués en raison de son statut d’exonération de TVA » et que des contrôles effectués auprès des entreprises individuelles ainsi que dans le cadre des avances en compensation, il est ressorti qu’il n’y a aucune différence entre les performances des entreprises à Eilat et des entreprises dans le reste d’Israël, et le plan général d’indemnisation apporte donc une réponse au sort de la ville.
Plus tard cette semaine, une réunion a été organisée entre le maire d’Eilat Lankri et le ministre des Finances Bezalel Smotrich sur la question de savoir si Eilat recevrait une aide supplémentaire.
« Il ne fait aucun doute, comme le montrent les données, qu’en dehors des colonies frontalières au nord et au sud, Eilat se trouve dans la situation économique la plus difficile d’Israël, sans tendance à l’amélioration substantielle, comme dans le reste du pays, et avec une amélioration n’est attendu que lorsque le tourisme reviendra dans la ville », déclare le conseiller fiscal Yaron Gindi, président de l’Institut des conseillers fiscaux.
Gindi ajoute : « Cette situation nécessite que le ministère des Finances mène également un plan amélioré et unique pour les entreprises d’Eilat au cours des prochains mois, afin de maintenir les entreprises d’Eilat en tant qu’entreprises viables et moteurs de croissance de la ville, lorsque les combats prendront fin. J’ai pris un taxi à Eilat et le chauffeur m’a montré son montant total pour décembre – seulement 3 160 NIS. Cela veut tout dire.