Dirigé par Ostrovitch-Levi depuis mai 2022, l’IMPA (Israël) est un organisme de renseignement qui mène les enquêtes économiques internationales les plus complexes et lutte régulièrement contre le financement du terrorisme. Le 7 octobre, Ostrovitch-Levi reçut un douloureux rappel de l’importance vitale de son travail.
« Déjà ce samedi soir, alors que les Israéliens étaient sous le feu nourri des roquettes, nous avons parlé de nous préparer à la campagne dans laquelle nous entrons maintenant, la lutte contre les canaux de financement du terrorisme. Des dizaines de nos collaborateurs ont été appelés en service de réserve, en grande partie des managers travaillant régulièrement dans la lutte contre le financement du terrorisme. »
Depuis lors, l’essentiel du travail de l’IMPA s’est concentré sur l’identification et le blocage des filières d’argent du terrorisme. « Nous travaillons de manière très réactive : nous assistons à une campagne de collecte de fonds, essayons de la dissuader et d’empêcher qu’elle ne se reproduise. Il n’y a pas de pause, car ils sont constamment actifs. C’est une lutte quotidienne. Nos analystes sont assis sur les réseaux sociaux depuis deuxième jour de la guerre, en surveillant simplement manuellement les sources d’information visibles sur ces réseaux pour localiser les campagnes de collecte de fonds pour les organisations terroristes opérant à Gaza.
le Ministère des Finances insiste sur le fait que les examens liés à la ville sont compliqués en raison de son statut d’exonération de TVA et que des contrôles effectués auprès des entreprises individuelles ainsi que dans le cadre des avances en compensation, il est ressorti qu’il n’y a aucune différence entre les performances des entreprises à Eilat et des entreprises dans le reste d’Israël, et le plan général d’indemnisation apporte donc une réponse au sort de la ville.
Plus tard cette semaine, une réunion a été organisée entre le maire d’Eilat Lankri et le ministre des Finances Bezalel Smotrich sur la question de savoir si Eilat recevrait une aide supplémentaire.
« Il ne fait aucun doute, comme le montrent les données, qu’en dehors des colonies frontalières au nord et au sud, Eilat se trouve dans la situation économique la plus difficile d’Israël, sans tendance à l’amélioration substantielle, comme dans le reste du pays, et avec une amélioration n’est attendu que lorsque le tourisme reviendra dans la ville », déclare le conseiller fiscal Yaron Gindi, président de l’Institut des conseillers fiscaux.
Gindi ajoute : « Cette situation nécessite que le ministère des Finances mène également un plan amélioré et unique pour les entreprises d’Eilat au cours des prochains mois, afin de maintenir les entreprises d’Eilat en tant qu’entreprises viables et moteurs de croissance de la ville, lorsque les combats prendront fin. J’ai pris un taxi à Eilat et le chauffeur m’a montré son montant total pour décembre – seulement 3 160 NIS. Cela veut tout dire. »
Publié par Globes, Israel business news – en.globes.co.il – le 2 janvier 2024.
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