General Catalyst et Insight Partners ont promis de faire des dons qui viendront financer le travail d’aide humanitaire qui suit les attaques contre Israël. General Catalyst a indiqué s’être engagé à donner initialement 250 000 dollars pour soutenir les efforts humanitaires sur le terrain.

« Le monde a été témoin d’un assaut d’une cruauté sans précédent mené contre Israël et sa population », a indiqué General Catalyst dans un communiqué. « Nous encourageons les autres membres de la communauté internationale du capital-risque à se tenir à nos côtés dans notre détermination à soutenir Israël, et à nous rejoindre en promettant des fonds qui permettront des aides humanitaires continues ».

« Nous nous sommes aussi mis en contact avec nos compagnies de portefeuille et avec nos partenaires qui se trouvent en Israël et nous nous engageons à faire tout ce qui sera possible pour les soutenir et pour les assister dans ce moment critique », a ajouté le fonds de capital-risque.

General Catalyst a investi dans des firmes israéliennes comme Rapyd, une société spécialisée dans la fintech ; Aidoc, fabricant de logiciels basés sur l’intelligence artificielle ; la start-up de gaming Superplay et la start-up Apiiro, qui consacre ses activités à la cybersécurité.

Le géant technologique américain Oracle, actif en Israël depuis plus de vingt ans, avait annoncé, au début de la semaine, un don d’un million de dollars au Magen David Adom. De plus, Oracle a lancé une campagne mondiale de collecte de fonds en faveur du MDA auprès de ses 150 000 employés du monde entier, promettant de doubler les fonds soulevés. Pour le moment, les employés d’Oracle ont collecté plus de 600 000 dollars.

300 Israéliens travaillent pour Oracle sur deux sites de R&D à Petach-Tikva et à Beer Sheva, dans le domaine des technologies de pointe et notamment dans le cloud, l’intelligence artificielle et autres applications.

Au mois d’octobre 2021, Oracle, dirigé par son directeur-général Safra Kitz, né en Israël, a fait construire un centre de données souterrain à Jérusalem pour un coût total de 200 millions de dollars, qui fonctionne comme fournisseur régional de cloud pour des clients israéliens.

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