Bonjour Steve,
Une émission en direct sur Radio J.
La société israélienne Monday.com (265 personnes) est une plate-forme Web et une application mobile destinée à la gestion de tâches, notamment le suivi de projets, du temps et de la collaboration en équipe.
Monday.com augmente sa rentabilité tout en participant à l’effort de guerre.
La plateforme de l’éditeur de logiciels d’entreprise sert de base à la gestion des activités de milliers de bénévoles et de centaines d’employés ; monday.com a enregistré un bénéfice net de 7,5 millions de dollars, alors que leurs actions continuent de monter en flèche.
La licorne israélienne Monday.com a annoncé une croissance rapide au troisième trimestre ainsi qu’une rentabilité accrue, une tendance qui devrait se poursuivre au dernier trimestre de l’année.
Comme d’autres entreprises technologiques israéliennes, Monday.com ne s’attend pas à ressentir les conséquences de la guerre en cours, même si 100 employés ont été enrôlés dans l’armée, soit environ 7 % de la main-d’œuvre mondiale de Monday.com
Monday.com a conclu le troisième trimestre avec un chiffre d’affaires de 189,2 millions de dollars, reflétant un taux de croissance annuel de 38 %. Pour le trimestre en cours, elle prévoit des revenus compris entre 196 et 198 millions de dollars, ce qui indique un léger ralentissement du taux de croissance à environ 30 %.
Cependant, la société devrait atteindre un taux de croissance de 40 % par an, et prévoit un chiffre d’affaires annuel compris entre 723 et 725 millions de dollars cette année.
Si elle maintient le taux de croissance actuel, elle deviendra une entreprise milliardaire en 2024. Les chiffres projetés sont supérieurs aux attentes tant trimestrielles qu’annuelles.
Perchée au 34éme étage d’une tour flambant neuf, où loge aussi le pionnier des processeurs graphiques Nvidia, au cœur du quartier d’affaires de Tel Aviv, la société monday.com jouit d’une vue imprenable sur la capitale économique israélienne.
Une vision panoramique qui à l’intérieur de son QG, inauguré voilà moins de deux ans, est relayée par la transparence de ses espaces de travail, totalement décloisonnés par des parois de plexiglas ou de verre. « Nos deux PDG n’ont pas de bureaux attribués, fait-on valoir au visiteur. Ici tout est en open space et l’on s’appuie sur quelques 15 000 tableaux de bord dotés chacun d’un QR code pour fonctionner. »