Propagande du Hamas, opinions publiques divisées… Le traitement du conflit met à mal la crédibilité de ces piliers de l’information.
« Guerre Hamas-Israël : l’AFP, la BBC et le New York Times sur la sellette ».
Ceci est le titre d’un article Le Point. Notre journal en ligne IsraelValley progresse de manière incroyable. Des milliers de nouveaux lecteurs tous les jours.
La raison ? Nous évitons de tomber dans les pièges de la désinformation provenant du Hamas et d’autres médias.
Le Hamas, et nous le savions depuis longtemps, est une école de désinformation.
Récemment l’intelligence artificielle joue un rôle important. Une photo venant de Gaza, avec un enfant ensanglanté, a surpris le monde entier. L’enfant avait six doigts à sa main et visiblement le sang était du ketchup.
Drôle de période où la BBC fait semblant de croire aux stupidités et chiffres du Hamas!
C‘est un mea culpa aussi tardif que prudent. Le New York Times a attendu six jours pour regretter à demi-mot son traitement du drame de l’hôpital Al-Ahli de Gaza.
e 17 octobre, l’influent journal aux 10 millions d’abonnés avait titré : « Une frappe israélienne fait des centaines de morts dans un hôpital, selon les Palestiniens », reprenant sans vérification l’accusation du Hamas et faisant un amalgame dangereux entre le Hamas et les Palestiniens.
Le 23 octobre, le quotidien a fini par reconnaître que « les premières versions de la couverture médiatique – et l’importance qu’elle a reçue dans les gros titres, les alertes d’information et les réseaux sociaux – se fondaient trop sur les affirmations du Hamas et n’indiquaient pas clairement que ces affirmations ne pouvaient pas être vérifiées….