Le 8 août 2023, un certain nombre d’utilisateurs Twitter (ou X) français se sont réveillés riches ! Riches, voire même très riches ! On parle de sommes à trois ou quatre chiffres. Afin d’accrître ses revenus, IsraelValley s’inscrit à ce programme.
SELON (1) : « Et si certains Twittos (ou Xos) se sont réveillés riches, c’est grâce au programme de rémunération mis en place par Elon Musk et baptisé « Ads Revenue Sharing ».
Ads Revenue Sharing a été conçu pour permetre aux créateurs de contenus de Twitter de récupérer une partie des revenus générés par les publicités apparaissant sous leurs tweets/X et dans les conversations qu’ils suscitent. Un programme dé rémunération qui a quelques règles d’accès simples :
- L’utilisateur doit être un abonné payant au service Twitter Blue (ou être une entreprise vérifiée)
- Avoir au moins 500 abonnés à son compte
- Avoir généré au moins 15 millions d’impressions (le nombre de vues) sur ses tweets au cours des trois derniers mois.
Cette dernière règle a été modifiée en cours de route il y a environ un mois, puisque le seuil avait d’abord été fixé à 5 millions d’impressions. Une première modification qui devrait en appeler d’autres, à commencer par le seuil minimum d’abonnés, qui devrait augmenter.
Les grosses sommes
Les premières rémunérations Twitter (X) ont donc été versées aux utilisateurs éligibles, avec un peu de retard d’ailleurs : elles étaient prévus d’abord pour la semaine du 31 juillet « mais Twitter a indiqué qu’en raison d’un trop grand nombre d’inscriptions au programme, les versements seraient effectués plus tard », explique BFM.
Les utilisateurs éligibles à la rémunération de X doivent aussi avoir un compte Stripe, une plate-forme tierce qui permet d’obtenir le versement des rémunérations. C’est la seule plateforme acceptée par Twitter pour le moment. Enfin, ces sommes colossales sont logiquement des sommes qui devront être déclarées aux impôts, sous une forme ou sous une autre.
Mais le point le plus intéressant est donc le montant qu’ont reçu les gros comptes Twitter français pour leurs basses oeuvres : comme évoqué, on parle de sommes à deux, trois voire parfois quatre chiffres, pour des créateurs de contenus qui dépassent parfois le million d’abonnés.
Voici un récapitulatif des principaux comptes qui ont partagé leurs premiers revenus issus de la monétisation de Twitter, avec d’abord les comptes ayant fait plusieurs milliers d’euros, ou plusieurs centaines : Parmi ceux-ci, surtout des comptes dédiés au hip-hop et au foot, comme Rap Land et French Rap US ».
(1) tps://www.wired.com/