EDITORIAL. De plus en plus d’articles sont publiés sur les dangers d’une guerre civile en Israël. En fait cette menace n’est que rhétorique. Selon nos observations sur le terrain (tous les samedis soir durant plus de 20 semaines nous avons filmé les manifestations!) les israéliens sont loin de s’entretuer dans les rues. La suite demain dans notre édito (DR)…

LE PLUS. Yuval Noah Harari dans L’Express : « Israël est au bord de la guerre civile ». Pour l’historien, auteur du best-seller « Sapiens », la réforme judiciaire de Benyamin Netanyahou mène le pays vers une dictature qui aurait de graves conséquences pour le Moyen-Orient.

LE PLUS. Selon alliancefr.com : « Les médias iraniens se sont récemment emparés d’une possible « guerre civile » en Israël suite à   la « crise » entourant le Premier ministre Benjamin Netanyahu, célébrant ainsi ce qu’ils perçoivent comme des divisions internes au sein du pays.

L’Iran, généralement connu pour ses menaces à l’encontre d’Israël, semble désormais croire que la véritable menace réside à l’intérieur même du pays. Ainsi, il se positionne pour observer la situation de près, persuadé qu’Israël pourrait s’affaiblir de l’intérieur.

L’attention de l’Iran envers Israël est évidente à travers ses médias, qui ont rapporté les manifestations de manière détaillée, mentionnant notamment l’installation de manifestants à Jérusalem devant le bâtiment de la Knesset. Bien que l‘Iran rejette la légitimité de Jérusalem comme capitale israélienne, cette couverture médiatique a contraint les médias pro-régime à reconnaître la présence du gouvernement diffusée à Jérusalem.

Dans ce contexte, certains médias iraniens ont évoqué la possibilité d’une guerre civile en Israël, examinant les lignes rouges potentielles qui pourraient être franchies, telles que des assassinats politiques ou une rébellion au sein de l’armée israélienne.

Ces spéculations, relayées par des médias pro-Iran, ont suscité des inquiétudes quant à la stabilité du gouvernement et de sa coalition, provoquant des départs de réservistes et des refus de servir dans l’armée de l’air israélien ».

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