Recherche de main d’œuvre et malaise politique semblent en effet se combiner pour amorcer une délocalisation partielle de la tech israélienne.
La main d’œuvre israélienne formée est rare et onéreuse ; les entreprises de la tech avaient donc déjà externalisé certaines fonctions de programmeurs et analystes en Russie, en Ukraine, voire dans les Balkans ou en Inde (estimation globale supérieure à 30 000 postes).
La guerre et les sanctions (mobilisation en Ukraine, difficultés de paiement en Russie) sont venues partiellement remettre en question ce choix.
Les contraintes d’offre et de compétitivité salariale de la tech israélienne qui étaient manifestes dès 2022, n’étaient alors pas suffisantes pour enclencher un mouvement de délocalisation.
En revanche, depuis quelques mois, certains entrepreneurs regardent vers l’extérieur pour développer leur entreprise.
AMBASSADE DE FRANCE. Service Économique de Tel Aviv
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