Incroyable mais vrai… IsraelValley a rencontré des loubavitchs (1) au salon Vivatech. La délegation israélienne a accepter de mettre les tefilins. Les tephillin sont constitués de deux petits boîtiers cubiques contenant quatre passages bibliques et attachés au bras et à la tête par des lanières de cuir, ils sont portés lors de la lecture du shema et de la prière matinale des jours profanes par les hommes ayant atteint leur majorité religieuse.
(1) Le hassidisme de Loubavitch est le mouvement hassidique le mieux implanté en France. Il y aurait environ 40 000 Loubavitch en France. Les Shlouhim Habad (« émissaires », Shaliah) voyagent dans le monde entier avec la mission déclarée de persuader les juifs non-pratiquants d’adopter la pratique juive orthodoxe. Ils aident les Juifs dans tous leurs besoins religieux. L’objectif affiché est d’encourager les Juifs à apprendre davantage sur leur patrimoine et à pratiquer le judaïsme. Sur instagram d’israelvalleynews vous pouvez voir un israélien enchanté d’avoir rencontré à Vivatech un « shaliah ».
LE PLUS. BFMTV.
Clap de fin. Le salon VivaTech qui s’est tenu à Paris depuis mercredi a fermé ses portes ce samedi. Avec 2400 start-ups et 20% d’espace en plus, le salon espérait attirer encore plus de visiteurs pour sa septième édition, en dépassant son record de l’année dernière qui avait vu 91.000 curieux se presser Porte de Versailles. C’est chose faite: dans un communiqué, le salon recense 150.000 visiteurs, « venus de 174 pays ».
Venue d’Elon Musk.
Cette année, l’intelligence artificielle a été au cœur des thèmes abordés sur les scènes de VivaTech, rendez-vous annuel consacré à l’innovation technologique et aux start-ups créé en 2016. L’édition 2023 a été marquée par la venue d’Elon Musk, le patron de Tesla, SpaceX et Twitter.
Il a tenu une conférence de plus d’une heure devant 4000 personnes, parlant notamment des difficultés de Twitter, de la régulation de l’IA – qu’il a qualifié de « puissance de rupture » – ou encore de SpaceX.
Le salon a également accueilli Emmanuel Macron, qui a défendu le potentiel de la France en matière d’intelligence artificielle et appelé les régulateurs à « collaborer étroitement avec les grands acteurs » du secteur.