Morningstar déclare « ne pas s’inquiéter pour l’avenir d’Israël ».
Alors qu’une grande partie du monde financier regarde, de plus en plus, avec inquiétude les développements politiques en Israël, une société, spécialisée dans l’évaluation des investissements sur la base de critères de responsabilité sociale, a fait une annonce spéciale mercredi dans laquelle elle a déclaré Israël comme « un pays à faible risque ».
Morningstar donne des gages aux milieux pro-israéliens.
Cette qualification est un signal pour les investisseurs qu’il est peu probable qu’ils soient empêtrés dans des violations des droits de l’homme ou d’autres scandales s’ils placent leur argent en Israël. C’est aussi une assurance destinée aux défenseurs pro-israéliens qui ont accusé l’entreprise de partialité contre Israël.
L’annonce de la société de recherche financière Morningstar, basée à Chicago est la dernière entrée dans un débat sur la façon dont les entreprises du monde entier devraient considérer le conflit israélo-palestinien.
Un camp dit qu’Israël devrait être traité comme une démocratie occidentale normale ; et l’autre dit que le traitement des Palestiniens par Israël devrait placer le pays dans la classe des régimes autoritaires.
Mais un autre débat sur la valeur des investissements en Israël a émergé ces derniers mois après l’élection d’un nouveau gouvernement israélien dirigé par Benjamin Netanyahou : sa faible majorité parlementaire s’appuie sur le soutien de partis aux plates-formes d’extrême droite.
Les bouleversements politiques pourraient effrayer les investisseurs.
Netanyahou, sur qui pèse encore des soupçons de corruption, s’est engagé à remanier le système judiciaire israélien et à limiter l’indépendance de la haute cour de Justice. De nombreux analystes financiers considèrent qu’un système judiciaire affaibli est un signal d’alarme pour les investisseurs.
Sarah Wirth, porte-parole de Morningstar, a déclaré que son analyse désignant Israël comme pays à faible risque ne tient pas encore compte des développements récents en Israël.
« Certains des changements qui se développent en Israël peuvent avoir un impact sur leur évaluation de pays à risque, une fois que nous les intégrons dans notre analyse », a écrit Wirth, en référence au plan de réforme judiciaire.
La suite de l’article se trouve dans le prochain numéro d’Israël Magazine
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