L’Office national israélien du tourisme a enfin pu de nouveau organiser, à Paris, mardi 10 mai, son traditionnel workshop dinatoire où agents de voyages et tour-opérateurs ont pu aller à la rencontre des représentants de réceptifs francophones, hôteliers ou encore compagnies aériennes.
C’est sous le soleil et sur la Seine que l’Office national israélien du tourisme a reçu les agents de voyages, lors de son workshop annuel. Ils ont ainsi pu échanger avec tous les maillons de la chaîne touristique, compagnies aériennes, hôteliers, réceptifs…
On se pressait même pour pouvoir dialoguer avec les différents protagonistes, heureux de pouvoir retrouver des agents de voyages français pour qui Israël est une destination qui compte, et réciproquement.
« En 2019, nous avions battu notre record de fréquentation, souligne Laurent Ghanassia, directeur communication & marketing de l’Office. Nous avons accueilli 4,6 millions visiteurs dont 370 000 Français ».
Le marché français pèse lourd : il est toujours, si l’on se fie au nombre de visiteurs, le premier en Europe et le deuxième dans le monde, derrière les Etats-Unis.
Aujourd’hui, tout est prêt pour tendre vers les chiffres pré-pandémie avec, « plus de 70 vols au départ de France ».
Une offre aérienne conséquente
Au-delà de Paris, les régions ne sont pas oubliées. Comme nouveauté, on peut citer des vols directs depuis Toulouse vers Tel Aviv opérés par la compagnie chypriote TUS Airways.
Et, grâce à Transavia ou Easyjet et El Al, les passagers, en-dehors de Paris, peuvent décoller de Bâle-Mulhouse (Easyjet), Marseille, Nice (El Al), Lyon (Transavia).
Laurent Ghanassia précise aussi que « grâce à Air France et El Al », il est possible de voyager dans une classe affaires équivalente à celle des long-courriers, « une exclusivité sur le bassin méditerranéen ». Lot Polish et ITA étaient aussi présents lors de la soirée.
Chez Transavia, on souligne que les ventes « repartent très fortes ». Aujourd’hui, comme en France, on peut vivre sans masque dans le pays, ce qui a permis de retrouver « une clientèle affinitaire » et, aussi, « des touristes avides de découvrir une nouvelle destination ».
Autre excellente nouvelle, même si le conditionnel reste de rigueur, il ne sera sans doute plus obligatoire d’effectuer un test PCR à l’arrivée, il faut encore attendre une approbation finale qui pourrait intervenir en mai. Il faut donc bien évidemment toujours se renseigner en amont du départ sur les formalités en cours.
Des évènements qui porteront la destination toute l’année
A noter, aussi, l’ouverture de nouveaux hôtels comme le David Kempiski à Tel Aviv et un Six Senses dans le désert de Néguev.
De nombreux évènements devrait aussi porter la destination sur la scène médiatique. Citons, la Gay Pride, à Tel Aviv, en juin, l’Open Restaurant, en novembre, à Jérusalem, le festival de yoga d’Arava, toujours en novembre.
Enfin, pour les amateurs, la première édition du semi-marathon du… Beaujolais se déroulera, fin octobre, sur la commune de Gezer, située entre Tel Aviv et Jérusalem.
Ajoutons que cinq agents de voyages, après tirage au sort, ont gagné des billets pour deux personnes offerts par ITA, Lot, Transavia, Easyjet et El Al.