Selon les nouvelles directives publiées mardi par l’Autorité de la population et de l’immigration, dès le mercredi 7 avril, les personnes n’ayant pas la nationalité israélienne pourront se rendre en Israël à condition qu’elles aient un parent au premier degré vivant dans le pays.

Seules les personnes vaccinées contre le coronavirus ou rétablies de la maladie pourront embarquer, sur présentation également d’un test PCR négatif, sauf les bébés jusqu’à un an.
En outre, des documents attestant le lien de parentalité avec une apostille seront également exigés pour embarquer.
Dans des cas exceptionnels, la dispense du cachet d’apostille sera donnée par le chef de la division consulaire du ministère des Affaires étrangères ou de son adjoint.
Les demandes doivent être soumises au ministère de la population ou directement par l’intermédiaire des ambassades.
Un citoyen ou un résident permanent vivant à l’étranger, qui a un membre de sa famille au premier degré en Israël pourra également se rendre dans le pays avec son conjoint et ses enfants, même s’ils sont eux-mêmes étrangers.
La vaccination de masse en Israël a permis d’assouplir les conditions d’entrée sur le territoire et de rouvrir largement l’économie du pays.
Israël a fermé ses frontières aux étrangers (n’ayant pas la nationalité israélienne) en mars dernier pour limiter la propagation du coronavirus dans le pays et l’importation de variants.

Source I24News

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