A. L’Université de Ben Gourion (BGU) développe un robot polyvalent inspiré des cafards et des lézards.
« AmphiSTAR » peut être utilisé pour des applications agricoles, de recherche et de sauvetage et d’excavation, où à la fois ramper et nager sont nécessaires. Des chercheurs ont développé ce nouveau robot à grande vitesse inspiré des mouvements des cafards et des lézards qui peuvent nager et courir au-dessus de l’eau et naviguer sur des terrains difficiles.
Le robot a été présenté par le Dr David Zarrouk, directeur du laboratoire de bio-inspiration et de robotique médicale du département de génie mécanique du BGU à la Conférence internationale sur les robots et systèmes intelligents.
Le robot est conçu pour fonctionner sur l’eau à des vitesses élevées comme le lézard. C’est un robot à roues avec quatre hélices qui peuvent être inclinées. Les hélices agissent comme des roues au sol et des ailettes au-dessus de l’eau. Deux réservoirs d’air permettent au robot de flotter et de passer en douceur d’une vitesse élevée en planant sur l’eau à une vitesse inférieure en nageant. Le robot peut ramper rapidement sur du gravier, de l’herbe et du béton, atteignant une vitesse de 3,6 mètres / seconde.
B. BRACELETS ELECTRONIQUE. La compagnie de cybersécurité Supercom a obtenu un méga-contrat pour fournir les bracelets électroniques distribués à l’Aéroprt Ben Gourion de Tel-Aviv à l’arrivée des voyageurs. Supercom pense que son bracelet a de l’avenir et se prépare à en fournir des milliers pour une utilisation plus large »,
avec les confinements de malades et de cas contacts.
Ce bracelet coûte environ 150 euros par jour et par personne. Le bracelet électronique est le même qu’utilisé comme alternative aux peines de prison mineures. Le bracelet, très léger, ergonomique et étanche, est accompagné d’un smartphone sécurisé et un autre appareil comportant un autocollant qui doit être fixé au mur.
Chaque individu se rend chez lui, et son adresse est identifiée avec le téléphone qui porte un système GPS. Chacun doit également apposer l’autocollant sur le mur, et à partir de ce moment, la quarantaine commence. Tant que le bracelet est suffisamment proche de l’autocollant, aucune alerte n’est envoyée au système.
SuperCom, la start-up chargée de mettre en place le système, précise que le bracelet lui-même ne comporte aucune technologie GPS et que, par conséquent, si les gens décident de quitter leur domicile, ils seront complètement hors du radar.