Dans le cadre d’une nouvelle loi un chapitre sur «Détecter et identifier les signes de violence» sera désormais inclus dans la formation des esthéticiennes.

Les diplômés du cours acquerront des outils qui les aideront à diagnostiquer la détresse chez les clientes, leur offriront de l’aide et les orienteront vers les soignants. L’endroit calme et accueillant, incite les femmes à parler, à se confier et peut devenir, ainsi,une opportunité qui peut sauver des vies

Non seulement les coups tuent, mais la honte tue aussi. Trop de femmes, dont la vie est menacée par la violence domestique, préfèrent garder le silence et cacher l’enfer qu’elles traversent aux côtés d’un homme obsessionnel, qui contrôle leur vie et les isole de l’environnement, des amitiés, de la famille et de la capacité de partager et de demander de l’aide.

Dans ce contexte, il est encourageant de découvrir qu’après quatre ans de préparation et d’expérimentation, une loi a récemment été approuvée qui oblige la Division de la formation professionnelle du Ministère du travail, de la protection sociale et des services sociaux à inclure dans la formation des esthéticiennes.

L’initiative est dirigée par Orna Weber, présidente de l’Association des esthéticiennes, en collaboration avec l’Association des « femmes spirituelles », qui a recruté l’ancienne députée Aliza Lavie, qui a dirigé le projet à la Knesset pendant son mandat.

Source : .alliancefr.com

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