Renforcer le développement de la High Tech israélienne, aligner le statut d’entrepreneur sur ceux des autres secteurs, allonger la journée scolaire, subventionner le coût des crèches pour les familles, augmenter le nombre de lits dans les hôpitaux, sont les principaux points du programme économique et social de Kahol Lavan dont voici quelques extraits.
Économie
Renforcement de l’industrie israélienne de la haute technologie comme objectif national.
Maintien d’Israël à l’avant-garde de la recherche et du développement, et de la commercialisation de technologies de pointe dans le domaine des nanosciences et de l’informatique quantique.
Révision du statut des travailleurs indépendants concernant en particulier leurs allocations de chômage et leurs indemnités de maladie, pour les aligner sur ceux des autres secteurs.
Éducation
Transfert de compétence de la petite enfance du ministère des Affaires sociales à celui de l’Éducation.
Augmentation du nombre d’infrastructures d’accueil pour les 0 à 3 ans.
Subventionnement des crèches à partir de l’âge d’un an dans la périphérie et de deux ans dans le centre.
Contrôle des infrastructures renforcé.
Allongement de la journée d’étude pour les enfants dont les parents travaillent et mise en place des « Écoles d’été » jusqu’en Kita Hé (CM2)
Mise en œuvre d’un plan national d’investissements dans les études scientifiques.
Accès gratuit aux études supérieures, jusqu’à la maîtrise, pour les jeunes de la périphérie.
Santé
Sur les 5 ans à venir:
Augmentation du nombre de lits d’hôpitaux afin d’atteindre les standards des pays développés.
Augmentation du personnel affecté aux services d’urgence et au suivi des patients.
Réduction du temps d’attente pour les patients par une augmentation du nombre d’heures de consultation médicales.
Élargissement du « panier médical » des médicaments remboursés et des prestations octroyées par l’État.
Amélioration des soins à domicile afin de réduire la pression sur les hôpitaux et de favoriser le maintien des patients en milieu familial.
Incitation aux études médicales en Israël (aujourd’hui 60 % des étudiants les suivent à l’étranger) en permettant aux étudiants en médecine de prester au sein du système de santé publique.
Facilitation des équivalences des diplômes décernés à l’étranger, entre autres pour favoriser l’accueil des nouveaux immigrants.