Daniel Biran, l’Ambassadeur d’Israël à Santo-Domingo, a annoncé cette semaine que son pays était prêt à collaborer avec la République Dominicaine pour trouver une solution aux problèmes de la frontière avec Haïti « Nous avons toutes sortes de technologies et d’alternatives pour la frontière » a-t-il déclaré, citant l’utilisation de drones et la surveillance par satellite, parmi les options qui pourraient être utilisées pour lutter contre la contrebande et la migration illégale.
Daniel Biran a souligné qu’en raison de la longueur de la frontière qui séparent les deux pays de l’île (376 km), un projet de grande envergure et à long terme serait nécessaire, sans toutefois préciser sa pensée.
Ajoutant, « Bien que les conditions de l’État d’Israël et celles de la république Dominicaine, ne soient pas les mêmes, je pense que nous pouvons apporter notre expérience, chaque pays ayant le droit et l’obligation de protéger ses frontières ».
Une annonce qui intervient quelques jours après que Federico Antún Batlle, le Président dominicain du Parti social-réformiste social chrétien (PRSC), un parti nationaliste anti-haïtien de l’opposition, qui avait réagit sur la sécurité de la frontière avec Haïti avait déclaré:
« C’est une frontière pratiquement ouverte, où tout passe sans aucun contrôle des autorités; et c’est la voie la plus facile pour l’immigration clandestine sur le territoire national » ajoutant que la construction d’un mur à la frontière devenait de plus en plus nécessaire et urgente.
« Un mur tout au long de la bande frontalière est fondamental pour la survie du peuple dominicain, car il nous permettra de d’empêcher la contrebande et la migration clandestine des haïtiens et assura la sécurité des populations dominicaines vivant dans la zone frontalière. »
Ajoutant, « Bien que les conditions de l’État d’Israël et celles de la république Dominicaine, ne soient pas les mêmes, je pense que nous pouvons apporter notre expérience, chaque pays ayant le droit et l’obligation de protéger ses frontières ».
Une annonce qui intervient quelques jours après que Federico Antún Batlle, le Président dominicain du Parti social-réformiste social chrétien (PRSC), un parti nationaliste anti-haïtien de l’opposition, qui avait réagit sur la sécurité de la frontière avec Haïti avait déclaré:
« C’est une frontière pratiquement ouverte, où tout passe sans aucun contrôle des autorités; et c’est la voie la plus facile pour l’immigration clandestine sur le territoire national » ajoutant que la construction d’un mur à la frontière devenait de plus en plus nécessaire et urgente.
« Un mur tout au long de la bande frontalière est fondamental pour la survie du peuple dominicain, car il nous permettra de d’empêcher la contrebande et la migration clandestine des haïtiens et assura la sécurité des populations dominicaines vivant dans la zone frontalière. »
Source Haiti Libre