Selon un rapport d’une société de sécurité israélienne, Sixgill, corroboré par une enquête du média britannique The Independant, Fortnite pratiquerait des méthodes non éthiques.
Selon (1) : « Lancé en juillet 2017, Fortnite compterait 200 millions de joueurs à travers le monde. C’est aussi une entreprise à succès qui rapporte des centaines de millions de dollars à sa société éditrice, Epic Game, et qui a propulsé son Pdg, Tim Sweeney, dans le top 500 personnalités les plus riches du monde.
Fortnite fonctionne selon le modèle du « freemium », c’est-à-dire moitié free (gratuit) et moitié premium (payant). On peut jouer gratuitement mais on peut aussi dépenser des fortunes pour acheter des éléments supplémentaires tels que des personnages, des skins (des tenues), des armes, etc. et même des comptes de joueurs déjà garnis de tous ces équipements virtuels ». (1) Source France TV Info)
LE PLUS. Selon ign.com
« Derrière son statut de jeu le plus joué du moment (notamment sur Nintendo Switch), Fortnite abrite une activité bien moins glorieuse – et surtout illégale – qui a de quoi mettre Epic Games dans l’embarras. Comme le rapporte The Independant, le célèbre Battle Royale serait depuis peu utilisé par des organisations criminelles pour du blanchiment d’argent.
Selon Benjamin Preminger, analyste au sein de l’agence de cyber-sécurité SixGill, des malfrats utiliseraient plus particulièrement le système de V-Bucks – la monnaie virtuelle de Fortnite – pour blanchir de l’argent volé. La démarche est malheureusement simple : les malfrats achètent des V-Bucks à l’aide de cartes de crédit volées, puis revendent la monnaie virtuelle (sur les réseaux sociaux par exemple) à des prix réduits. Ce schéma permet, une fois la revente opérée, de faire disparaître l’argent dérobé. Fortnite serait devenue une plateforme tellement incontournable que ses mentions sur le « dark web » auraient explosé. De quoi attirer l’attention d’Epic Games, dont les revenus générés par Fortnite ont atteint les 2 milliards de dollars en 2018 ? Pour l’instant, le studio n’a pas réagi ».
Selon Benjamin Preminger, analyste au sein de l’agence de cyber-sécurité SixGill, des malfrats utiliseraient plus particulièrement le système de V-Bucks – la monnaie virtuelle de Fortnite – pour blanchir de l’argent volé. La démarche est malheureusement simple : les malfrats achètent des V-Bucks à l’aide de cartes de crédit volées, puis revendent la monnaie virtuelle (sur les réseaux sociaux par exemple) à des prix réduits. Ce schéma permet, une fois la revente opérée, de faire disparaître l’argent dérobé. Fortnite serait devenue une plateforme tellement incontournable que ses mentions sur le « dark web » auraient explosé. De quoi attirer l’attention d’Epic Games, dont les revenus générés par Fortnite ont atteint les 2 milliards de dollars en 2018 ? Pour l’instant, le studio n’a pas réagi ».
LE PLUS. (1)
La start Up israélienne SIXGILL vient de recevoir un “Award” au NETEXPLO FORUM 2017, qui s’est déroulé à l’Unesco à Paris, les 26 et 27 avril 2017. SIXGILL figure parmi les 10 startups les plus innovantes sélectionnées sur 2 000 innovations identifiées cette année par le réseau d’experts NETEXPLO. SIXGILL se positionne comme un leader en cyber intelligence en traçant les criminels sur le Dark Web. Le Dark Web est la partie immergée d’internet à laquelle on accède uniquement à partir de logiciels spécifiques qui protègent l’anonymat de l’utilisateur et lui permettent d’avancer masqué….
(1) ©siliconwadi.fr. Source : siliconwadi.fr/21502/la-startup-israelienne-sixgill-recompensee-par-lunesco