EDITORIAL Je viens de lire dans la version électronique du Figaro de ce jeudi 16 octobre (1) un article de Blandine Le Cain, « Qu’est ce que le mouvement BDS qui prône le boycott des produits israéliens ? » Puisque l’auteur n’a pas pris le temps d’interroger également certains de ceux qui luttent contre le BDS comme la Chambre de Commerce France Israël, je rappelle les points suivants :
 Le fondateur et dirigeant du BDS, Omar Barghouti, est un adversaire de « 2 pays, pour 2 peuples », partisan de la destruction de l’Etat d’Israël. Son but est effectivement de faire passer Israël pour l’Afrique du Sud au temps de l’Apartheid. En fait d’Apartheid, Omar Barghouti est tellement discriminé qu’il a fait son Doctorat à l’Université de Tel Aviv. La loi israélienne met exactement sur le même pied tous ses citoyens quelles que soient leur race ou leur religion.
 Un ancien ministre français des affaires étrangères a d’ailleurs dit à des Palestiniens qu’appeler au boycott, c’est boycotter le dialogue, c’est boycotter la Paix.
 Boycotter les smartphone qui contiennent pratiquement tous des éléments d’origine israélienne n’est évidemment pas porteur, les actions du BDS se concentrent donc sur les oranges et les avocats dont la culture emploie une importante main d’oeuvre arabe.
 Tous les produits israéliens sont visés par le BDS et dans leur enthousiasme certains de ses partisans vont jusqu’à détruire,  dans des grandes surfaces françaises, des rayons casher qui n’ont rien d’israélien. Face à de tels agissements, comme il se doit, la grande distribution française défend la liberté de choix de ses clients.
 Surtout ces appels au boycott sont illégaux en France
 (1) http://premium.lefigaro.fr/international/2017/11/14/01003-20171114ARTFIG00360-qu-est-ce-que-le-mouvement-bds-qui-prone-le-boycott-des-produits-israeliens.php
 

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