Le président israélien Reuven Rivlin a refusé dimanche une requête de l’ancien président Moshe Katsav, qui demandait à être affranchi des limitations mises en place pour sa liberté conditionnelle, selon les médias israéliens. Rivlin a rappelé que la libération anticipée de Katsav était soumise aux exigences de liberté conditionnelle.
Selon i24News : « Pour cette raison et la nature de son crime, il n’est pas possible d’accepter de supprimer les limitations propres à la liberté conditionnelle », a tranché le chef d’Etat. Katsav est sorti de prison en décembre dernier, lorsque la Commission des libérations probatoires a validé sa demande de libération anticipée, après avoir passé cinq ans derrière les barreaux pour viol et autres délits sexuels.
L’ancien président avait déjà sollicité la Commission à deux reprises, lors desquelles ses requêtes avaient été rejetées.La libération de l’ancien président a été soumise à plusieurs conditions : interdiction d’accorder des interviews, interdiction de diriger des femmes dans la cadre d’un futur emploi, obligation de participer à un programme de réhabilitation et à suivre une thérapie ou encore obligation de se présenter de façon régulière à un agent de la commission.
Ce sont ces conditions auxquelles Katsav voudrait mettre un terme aujourd’hui, pour pouvoir s’exprimer librement.M. Katsav, 70 ans, a été reconnu coupable fin 2010 de viols à l’encontre de deux de ses collaboratrices à l’époque où il était ministre du Tourisme dans les années 90, de harcèlements sexuels, de subornation de témoins et d’entraves à la justice.
Poussé à la démission en juillet 2007 par les accusations, il avait été incarcéré le 7 décembre 2011 dans la prison de Maasiyahu à Ramleh, près de Tel-Aviv. Sa sortie de prison est prison était prévue pour décembre 2018, ayant écopé d’une peine de sept ans d’emprisonnement. Il avait été remplacé par le prix Nobel de la paix et l’ancien homme d’Etat Shimon Peres, décédé en septembre 2016. Reuven Rivlin a repris le poste en 2014″.
Selon i24News : « Pour cette raison et la nature de son crime, il n’est pas possible d’accepter de supprimer les limitations propres à la liberté conditionnelle », a tranché le chef d’Etat. Katsav est sorti de prison en décembre dernier, lorsque la Commission des libérations probatoires a validé sa demande de libération anticipée, après avoir passé cinq ans derrière les barreaux pour viol et autres délits sexuels.
L’ancien président avait déjà sollicité la Commission à deux reprises, lors desquelles ses requêtes avaient été rejetées.La libération de l’ancien président a été soumise à plusieurs conditions : interdiction d’accorder des interviews, interdiction de diriger des femmes dans la cadre d’un futur emploi, obligation de participer à un programme de réhabilitation et à suivre une thérapie ou encore obligation de se présenter de façon régulière à un agent de la commission.
Ce sont ces conditions auxquelles Katsav voudrait mettre un terme aujourd’hui, pour pouvoir s’exprimer librement.M. Katsav, 70 ans, a été reconnu coupable fin 2010 de viols à l’encontre de deux de ses collaboratrices à l’époque où il était ministre du Tourisme dans les années 90, de harcèlements sexuels, de subornation de témoins et d’entraves à la justice.
Poussé à la démission en juillet 2007 par les accusations, il avait été incarcéré le 7 décembre 2011 dans la prison de Maasiyahu à Ramleh, près de Tel-Aviv. Sa sortie de prison est prison était prévue pour décembre 2018, ayant écopé d’une peine de sept ans d’emprisonnement. Il avait été remplacé par le prix Nobel de la paix et l’ancien homme d’Etat Shimon Peres, décédé en septembre 2016. Reuven Rivlin a repris le poste en 2014″.