Depuis quelques jours les juifs de France, aidés par des professionnels de la communication, semblent avoir enfin ouvert les pages des grands médias. La persevérence a joué.
Selon i24News : « Le meurtre de Sarah Halimi a plané sur la commémoration du Vél d’Hiv. Devant la juge d’instruction, le meurtrier présumé de Sarah Halimi, tuée à Paris en avril, a reconnu qu’il connaissait la judéité de sa victime mais nie tout acte antisémite
Le président du Crif a appelé à inscrire le caractère antisémite du meurtre de Sarah Halimi au dossier
L’ombre du meurtre de Sarah Halimi a plané dimanche sur la cérémonie de commémoration de la rafle du Vél d’Hiv à Paris, à laquelle étaient présent le président français Emmanuel Macron et le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou.
L’assassinat de cette femme juive commis en avril à Paris par un voisin musulman, pour lequel la qualification antisémite n’a pas été retenue par la justice à ce stade, a suscité l’indignation de la communauté juive.
C’est d’abord le président du Crif Francis Kalifat qui a appelé dimanche dans son discours à inscrire le caractère antisémite du meurtre de Sarah Halimi au dossier.
« Lorsqu’un meurtrier prétendument fou torture de longues minutes Sarah Halimi, qu’il connaît de longue date et sait juive, qu’il récite des sourates du Coran pour accompagner ses gestes, puis la défenestre vivante aux cris d’Allah Akabar, écoutons la vérité que ce meurtre fait vivre sur l’antisémitisme qui sévit au sein de pans radicalisés de notre société », a-t-il déclaré.
« C’est pourquoi, monsieur le président de la République, il est essentiel que le caractère antisémite de ce meurtre soit inscrit au dossier pour que le procès à venir soit aussi celui de l’antisémitisme qui tue aujourd’hui en France », a-t-il ajouté.
« Nous n’accepterons plus que la folie réelle ou supposée de telles actes viennent effacer leur caractère antisémite. Cet argument lancinant est vécu par les familles et leurs proches comme une chape de plomb supposée sur leur douleur », a-t-il encore dit.
C’est ensuite le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou qui a rendu hommage à la victime de Kobili Traoré, musulman radicalisé d’origine malienne au lourd casier judiciaire.
L’assassinat de cette femme juive commis en avril à Paris par un voisin musulman, pour lequel la qualification antisémite n’a pas été retenue par la justice à ce stade, a suscité l’indignation de la communauté juive.
C’est d’abord le président du Crif Francis Kalifat qui a appelé dimanche dans son discours à inscrire le caractère antisémite du meurtre de Sarah Halimi au dossier.
« Lorsqu’un meurtrier prétendument fou torture de longues minutes Sarah Halimi, qu’il connaît de longue date et sait juive, qu’il récite des sourates du Coran pour accompagner ses gestes, puis la défenestre vivante aux cris d’Allah Akabar, écoutons la vérité que ce meurtre fait vivre sur l’antisémitisme qui sévit au sein de pans radicalisés de notre société », a-t-il déclaré.
« C’est pourquoi, monsieur le président de la République, il est essentiel que le caractère antisémite de ce meurtre soit inscrit au dossier pour que le procès à venir soit aussi celui de l’antisémitisme qui tue aujourd’hui en France », a-t-il ajouté.
« Nous n’accepterons plus que la folie réelle ou supposée de telles actes viennent effacer leur caractère antisémite. Cet argument lancinant est vécu par les familles et leurs proches comme une chape de plomb supposée sur leur douleur », a-t-il encore dit.
C’est ensuite le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou qui a rendu hommage à la victime de Kobili Traoré, musulman radicalisé d’origine malienne au lourd casier judiciaire.
« Des sauvages ont brutalement assassiné des citoyens français et des Juifs français à Toulouse, à l’Hypercacher et récemment Sarah Halimi, bénie soit sa mémoire », a-t-il rappelé dans son allocution ». (Source i24News)