Au cours de la semaine écoulée, les habitants d’un immeuble en Israël ont remarqué qu’il n’y avait plus de mezouza à l’entrée des ascenseurs , et n’ont pas compris la signification du phénomène. Les habitants ont tenté de rechercher et de localiser les mezouzot (1), mais sans succès. Elles n’ont été trouvées nulle part.

Lorsqu’ils ont vérifié les caméras de sécurité de l’immeuble, ils ont été horrifiés de voir l’ouvrier non-juif arracher avec un mépris honteux les parchemins dans les deux ascenseurs, et les jeter dans la cage d’ascenseur.

(1) La mezouzah désigne par métonymie un objet de culte juif apposé au chambranle de l’entrée d’une demeure. Dans le judaïsme rabbinique, elle prend la forme d’un boîtier contenant deux passages bibliques rédigés selon les règles de l’art sur un parchemin, fixé au chambranle des portes des lieux d’habitation permanente, y compris les différentes pièces de cette demeure (cuisine, salon, chambres), à l’exclusion des lieux d’aisance et de rangement.

La prescription d’écrire « ces choses que je vous prescris en ce jour » aux poteaux des portes a pour base deux passages du Deutéronome (chapitre 6:4-9 et chapitre 11:13-21). Ces versets comprennent le Shema Israël, qui commence par la lettre shin (ש). Cette lettre figure sur chaque mezouzah mais elle représente « Shaddaï » (שדי), qui est l’un des noms de Dieu dans le judaïsme.

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