Le modèle des moshavims exporté par Israël en Afrique entretient l’espoir de pouvoir lutter contre la sécheresse et contre la faim dans  certaines régions africaines, et dans d’autres pays en développement, grâce à de nouvelles techniques agricoles.

Selon les chiffres de la Banque Mondiale, en 2020, 58% seulement des Africains ont accès à l’eau potable, moins de 5% des terres cultivées sont irriguées et seulement moins de 10% des ressources hydriques sont utilisées. L’exportation des nouvelles technologies israéliennes permet d’avoir une meilleure sécurité alimentaire dans divers pays en développement.

Des entreprises israéliennes ont ainsi exporté leurs technologies agricoles dans des régions désertiques. Rony Sarfati, ingénieur, expert en gestion de l’eau, donne son point de vue à Israël Magazine. « L’agriculture a toujours été au centre du développement d’Israël. Nous avons réussi à pouvoir être autonome, à comprendre comment produire de manière efficace dans un milieu aride. Nous avons  proposé un transfert  de savoir faire unique à l’étranger ».

Concernant l’exportation des moshavims en Afrique, « il existe cet exemple exceptionnel  de la société israélienne Tahal, concernant la création du moshav Quiminha pour 300 familles, avec un centre de formation agricole à la pointe afin de former les agriculteurs angolais». L’entreprise Quiminha est considérée comme l’un des plus grands projets agricoles actuellement en cours en Angola, qui a un impact majeur sur la production alimentaire du pays.

/israelmagazine.co.il

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